John Frederick Lewis

John Frederick Lewis est un peintre orientaliste anglais.



Catégories :

Peintre anglais - Peintre orientaliste - Orientalisme - Naissance en 1805 - Décès en 1876

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Définitions :

  • John Frederick Lewis (July 14, 1805 - August 15, 1876) was an Orientalist English painter. He specialized in Oriental and Mediterranean scenes and... (source : en.wikipedia)
Portrait de John Frederick Lewis par William Boxall, 1832
Dans le jardin du bey

John Frederick Lewis (né à Londres le 14 juillet 1805 ; mort à Walton-on-Thames le 15 août 1875) est un peintre orientaliste anglais.

Biographie

Fils du graveur et peintre paysagiste Frederick Christian Lewis (1779-1856), John Frederick Lewis débute avec lui l'apprentissage de son art puis il étudie la peinture animalière avec Edwin Landseer[1]. Il voyage en suisse et en Italie en 1824, puis il vit en Espagne et au Maroc de 1832 à 1834. Il est à Paris en 1837, à Rome de 1838 à 1840 et entreprend à compter de cette année un grand voyage en orient qui l'amène au Caire, en 1841, où il séjourne 10 ans. Il adopte le costume local et se tient à l'écart de la communauté occidentale [2]. Il dessine et peint à l'aquarelle, technique auquel il se consacre presque exclusivement depuis 1827[3], la vie du Caire et de ses habitants avec le plus d'authenticité envisageable mais aussi les paysages d'Égypte et du Sinaï.

Rentré en Angleterre, il découvre que son œuvre y est appréciée et suscite des commentaires admiratifs surtout de l'écrivain John Ruskin [4]. Il est appelé président de l'Old Watercolor Society en 1851 et le reste jusqu'à sa démission en 1858. Renouant avec la technique de la peinture à l'huile, il expose particulièrement régulièrement à la Royal Academy et la présentation de plusieurs de ses œuvres à l'Exposition universelle de Paris de 1855, lui vaut une analyse flatteuse de la part de Théophile Gautier [5]. Il décède en 1876 à Walton-on-Thames où il s'est installé depuis son retour.

Notes et références

  1. Gérard-Georges Lemaire, L'univers des Orientalistes, Paris, Place des Victoires, p. 346
  2. Lynne Thornton, Les Orientalistes, Peintres voyageurs, Courbevoie, ACR Édition Poche Couleur, 1994, p. 131
  3. Ibid. , p. 130
  4. Ibid. , p. 133
  5. Christine Peltre, Dictionnaire culturel de l'orientalisme, Paris, Hazan, 2003, p. 85

Sources

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